Mettre des mots sur des émotions, voilà ce que nos parents tentent de nous enseigner. Encore faut-il savoir les connaitre et les reconnaitre ! Lorsque je tombe, va-ton entendre que je me suis fait mal ? « Lève-toi tu es un grand, tu n’as pas mal ! ». Verra-ton, que moi petit garçon de 4 ans pleurant le départ de ma mère, que j’ai peur qu’elle m’abandonne ou me dira-t-on : « Tu es un garçon, les grands garçons ça ne pleurent pas ! ». Comprendra-t-on que j’ai besoin qu’on me donne des limites quand je fais la moindre bêtise ou se dira-t-on : « Mais qu’est ce qu’il est méchant cet enfant ! » ?
Il existe tant d’exemples de mauvaises interprétations que nous faisons de nos propres enfants, de ce qu’ils peuvent ressentir. Accepter d’apprendre par eux, avec eux, c’est s’éveiller à grandir chaque jour vers un meilleur de nous-mêmes.
Quand allons-nous apprendre à écouter sur ce que vraiment chacun a à nous dire ? Nous pensons être à l’écoute, nous pensons comprendre ce que l’autre vit, ressens, alors qu’en fin de compte, on ne fait que parler sur l’autre, que parler de nous. De ce qui fait écho en nous, de ce que nous-mêmes nous avons ressentis quand une même expérience nous est arrivée. Alors que le ressenti n’est jamais le même selon les personnes, car nous n’avons pas tous été « élevé » de la même manière, selon ce que nous avons pu interpréter de nos parents. Si on vous appris à être fort quelque soit ce qui vous arrive, qu’on vous a toujours dit que demander de l’aide c’est avouer une faiblesse, vous agirez en niant toute dépendance, en vous montrant invincible, alors qu’au fond de vous-mêmes, vous avez peur de ne pas être à la hauteur, de décevoir. De ce fait, un sentiment de solitude s’empare de vous, vous vous repliez sur vous-mêmes croyant que vous arriverez alors que vous n’attendez qu’une chose qu’on vous aide !
Savoir que nous pouvons toujours compter sur quelqu’un est essentiel et ce sans tomber dans l’assistanat, dans la dépendance. Nous avons tous besoin des uns des autres, la solidarité répond à un besoin d’appartenance. Je sais que je saurai toujours me relever de mes difficultés car je me sens épaulé.
Le plus difficile pour ce genre de personne est d’aller à la rencontre de l’autre, de celui qui n’ose pas. Tendez lui la main, dites lui qu’il est en droit de ne pas savoir tout gérer seul, qu’il est en droit de demander de l’aide. Reconnaissez-lui le fait qu’il ne sache pas le faire et il vous écoutera. Entendre que derrière toute demande se cache une peur et la reconnaître. En tenir compte, accompagner la personne en toute connaissance de cause, le guider pour évacuer cette crainte.
Tout au contraire, une personne qui a toujours pris l’habitude qu’on s’occupe d’elle, qu’on l’a rendue dépendante, ne croira jamais en elle, se sous estimera toujours et viendra sans cesse demander de l’aide la confortant dans son assistanat. Alors qu’il suffit d’entendre que cette personne a peur de ne pas s’en sortir seule car on ne lui a jamais donner les moyens. Lui dire qu’elle est en capacité de faire seule, qu’elle peut se faire confiance, et ainsi l’accompagner sans cette acquisition. Faites-lui comprendre qu’elle peut compter sur elle-même, qu’elle peut s’en sortir et ainsi la mener vers sa liberté, vers une meilleure estime de soi, un autre besoin vital pour le bien être.
Sachez-lire entre les lignes, sachez voir, entrapercevoir ce que l’autre tente d’exprimer que ce soit par des attitudes, des silences, des mimiques. Car tout est expression mais tout ne peut se verbaliser. Tout ne peut se dire, car trop lourd à porter, ou refoulé pour s’en protéger.
Avons –nous pris le temps dernièrement de s’inquiéter de ce que pouvez ressentir l’être que nous aimons le plus au monde ? Est-il vraiment heureux ou nous laisse-t-il le croire ?
Depuis quand vous êtes vous pris cinq minutes de votre temps pour vous écouter ? Pour savoir réellement ce que vous ressentez au plus profond de vous ? A reconnaître vos réels besoins ? Savez-vous dire quand, pour la dernière fois, vous avez été fidèle à vous-mêmes ?
Ecoutez-vous, entendez-vous, et ainsi allez à la rencontre de l’autre pour enfin l’écouter avec ce qu’il est, ce qu’il a vécu, ce qu’il a ressenti et reconnaissez-le, reconnaissez ses émotions ! Ainsi, vous le ferez exister !
Si toi aussi tu dois faire le choix entre te faire plaisir ou faire plaisir
Si toi aussi tu cherches à te simplifier la vie sans devoir compter
Si toi aussi tu rumines pour ne pas en arriver au pire
Si toi aussi tu aimerais ne plus galérer
Si toi aussi tu perds parfois le sourire
Selon ton état de santé
Si toi aussi tu rêves d’une vie sans trop réfléchir
Pour jamais ne rien manquer
Si toi aussi tu cherches à t’en sortir
Sans toujours devoir quémander
Si toi aussi tu cherches à vivre
Sans toujours au monde devoir tout prouver
Si toi aussi tu passes ton temps à courir
Et à devoir tout accepter bon gré malgré
Si toi aussi tu ne veux pas souffrir
Et te sentir protégé, aimé
Ouvres-toi à toi-même, ouvres-toi à la vie
Regardes bien autour de toi
Et voit au combien tu as cette chance que d’autres n’ont pas
Et remercies-toi de parfois à ton tour, donner envie
]]>On compte, on ajoute, on enlève, on divise, on multiplie, on répartit, on partage avec ou sans équité, mais on calcule ! On nous identifie comme de simples numéros, un parmi tant d’autres, perdus dans la masse des millions, des milliards. Lorsque nous naissons, l’essentiel n’est pas de savoir comment vous vous portez, comment vous allez être aimé, choyé mais le poids et la taille que vous faites, et que nous sommes le milliardième être sur la Terre. Par la suite, notre enfance est conditionnée par l’âge auquel nous avons marché, l’âge de la propreté, l’âge où nous avons dit nos premiers mots, pour ainsi entrer dans le moule de la société, de la normalité. Et ainsi faire sa place, car on compte sur nous pour ne surtout pas être le dernier, mais le meilleur, le n°1, à l’école, rythmé par des notes puis au travail, rythmé par le rendement. Pour aboutir, en fin de vie à se retrouver tous au même endroit, allée 6, place 13.
Toute notre vie, nous tenterons de nous en sortir, de vivre, alors qu’en fin de compte, nous ne faisons que survivre. Gagner du temps, gagner de l’argent alors que nous ne faisons qu’en perdre.
Toutes nos relations sont également chiffrées. Le nombre « d’amis » sur Facebook, ceux que l’on compte sur les doigts de la main. Ceux qui comptent beaucoup plus dans notre cœur et d’autres qu’on ne « calcule » plus tant ils nous ont déçus. Le nombre de nos rencontres, nos premières fois que nous n’oublierons pas, le seul qui, la seule qui, l’unique…
Toute une vie à la poursuite de l’amour qui nous sera donné sans compter, et se rendre compte que tout se paye, que cet amour ne donnera jamais assez car nous en demandons de trop. Jamais satisfait, jamais rassasié, ne jamais se contenter, toujours plus… « Je t’aime plus que tu ne m’aimes (« je t’aime trop ! »), alors aimes-moi encore plus ! ». Mesurer et comparer et de ce fait « faire chanter » pour être comblé. « Oui mais moi, je ne veux plus souffrir, alors je ne veux plus donner autant ! ». « Oui mais moi, j’ai tant à t’offrir ! ». Garder pour soi pour faire une économie, une économie de soi, pour ne pas manquer de…
Est-ce que je vaux quelque chose ? Est-ce que je vaux encore quelque chose ? A combien je m’estime, à combien tu m’estimes ? Toute une vie en quête d’une valeur ajoutée que l’on nous a ôtée.
A force de tout compter, on finit par ne plus compter sur les uns, par ne plus compter sur les autres. A force de tout évaluer, on en perd nos valeurs. Les valeurs du cœur, celle d’une humanité.
A trop vouloir compter, on se surprend à éprouver des maux, à trop vouloir chiffrer, on en perd nos mots.
]]>Laissez votre corps, vôtre âme s’exprimer, libérez-les de leurs interdits, de leurs limites, lâchez-prise sur ce qui n’est pas convenu, bienvenu, et vivez comme vous n’avez jamais vécu. Permettez-vous cette liberté d’être, d’agir, de penser, de ressentir, d’aimer....
Et laissez-vous porter par le meilleur de vous même, par tout ce que l’on vous amène, que l’on vous porte, que l’on vous apporte.
Agrandissez-vous afin de vous élever, de vous unifier, de faire un tout au plus près du bonheur…
Arrêtez d’en rester au rêve, existez pour ce qui en vaut réellement la peine, donnez- vous cette peine d’y réfléchir et ensuite d’agir ! Soyez-vous, cultivez-vous, connaissez-vous, apprenez de vous et partagez, distribuez à l’infini ce qui vous a été révélé !
Mais surtout restez-en paix avec vous mêmes, pour l’être avec les autres, mûrissez ce désir, ce plaisir d’être vous parmi les autres, d’accueillir autrui tel qu’il se présente.
Prenez soin de votre vie, gardez en vous cette vivance qui vous a été donné à votre naissance, cultivez-la avec aisance et complaisance.
Le deuil de ne pas, parfois, être "tombé" dans la bonne famille, de ne pas y être à sa place, de la chercher et parfois, souvent de ne pas la trouver. Le deuil d’un parent absent ou étouffant, le deuil d’un amour parental. Le deuil de notre "doudou" attitré qui marque le début de notre indépendance affective.
Adolescent, nous faisons le deuil de notre corps d’enfant, pour accueillir celui de l’adulte à venir. Nous faisons le deuil des années enfantines que nous ne pourrons jamais rattraper, du temps à jamais écoulé. Sommes-nous préparés à accorder le fait que plus jamais nous ne revivrons ce que nous avons vécu dans le passé, à accepter cette part d’éphémère, comme inévitable, irrécupérable.
Admettrons-nous un jour cette irréversibilité ?
Sommes-nous parés, à ce moment là à être un homme, une femme prêts à accepter tous les deuils qui marqueront notre vie ?
Serons-nous toujours prêts à accepter ? Serons-nous préparés au deuil de la femme ou de l’homme, du père ou de la mère tant rêvés ?
Accueillerons-nous réellement telle que nous serons ? Accomoderons-nous de ce que l’autre sera ? De ce qu’il nous apportera ? Accorderons- nous lui le droit de ne pas être celui qu’on attendait ? Donnerons-nous l’autorisation d’être sincèrement ce que nous sommes ?
Arriverons-nous à faire le deuil de tout ce que nous ne serons jamais?De tout ce que nous ne pourrons donner, de tout ce que nous ne pourrons partager ? Saurons-nous faire le deuil de ce que l’autre ne sera ou ne fera jamais ? De ce que l’autre ne donnera ou ne partagera jamais ?
Ferons-nous un jour le deuil d’un idéal qui n’existe pas ? Saurons-nous nous contenter de ce que la vie nous accordera ?
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Que demander de mieux que deux hommes à vos pieds ? Comment se plaindre d’une telle aubaine ? Encore et toujours ce chiffre deux qui me poursuit....je ne peux aimer un seul homme...
Il me manque toujours une chose chez l’un que je retrouve chez l’autre et vice versa. Peut être mon épanouissement passe t’il par là?
Trop à donner, trop à vouloir recevoir, trop gourmande, insatisfaite, insatiable.... ? Non, juste un besoin d’être aimée et d’aimer plus fort que tout.
Je ne peux trouver mon équilibre qu’en aimant ainsi, et je n’y peux rien, bien de la chance qu’ils l’acceptent ! Alors pourquoi me plaindre ? Par peur de ne pas savoir gérer cette équilibre, cette "équité" amoureuse ?
Pourquoi, pour qui tant de questions ? Vis…
]]>Si seulement tu me le permet……
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Six de vie partagée à tes côtés
Seize ans que l’on se connait,
Et toujours autant de plaisir à se retrouver,
Merci à tes parents de m’avoir accordé leur confiance,
Merci à eux de m’avoir offert cette chance,
D’avoir pu accompagner une partie de ton enfance,
Tes joies, tes larmes, tes rires,
Rien de plus beau que de te voir t’épanouir,
A l’aube de ta majorité,
Je n’ai qu’un seul et unique souhait,
Celui de perpétrer le lien qui nous unit,
Et qui au fil des années me réjouit,
Merci à toi et ton frère de m’avoir supportée,
Merci à vous de m’avoir tout donné,
Merci à votre famille de m’avoir fait grandir,
Et d’avoir permis de m’accomplir,
Une dernière chose à te dire,
Restes fidèle à toi-même,
Et surtout aime,
Ais ce goût de la vie,
Que j’espère t’avoir transmis,
A toi ma petite sœur de cœur,
Je souhaite le plus grand des bonheurs.
Ta nounou
]]>" Ne rien attendre de l’autre, juste donner, se donner c’est faire de la moindre attention le plus beau des cadeaux"''
]]>J’ai enchainé les ennuis vendredi dernier, en crevant une deuxième fois le même pneu déjà crevé 3 semaines auparavant ! Et à ce jour, j’ai du me rendre chez mon médecin, car gonflement et douleur en dessous de l’oreille. Inflammation d’un ganglion sans rapport avec une quelconque otite ou angine, je dois donc faire une échographie pour en savoir davantage....
Je finis par "m’habituer" à cette suite d’inconvénients, je m’en lasse, mon corps finit par somatiser, tous ces ennuis me gonflent, j’en ai "les boules", voilà pourquoi j’enflamme ! J’ai l’impression de ne pas en voir la fin, quelqu’un me veut du mal, on m’a jeté un sort ? pfffffff je n’y crois pas !
Je n’aime pas me plaindre, je voulais juste évoquer des événements insensés dans ma vie en si peu de temps. Que dois je faire de tout ça maintenant ? Qu’est ce que la vie tente de me dire, de me faire entendre ?
]]>Voilà c’en est fini avec la poisse ! Et bien non, depuis que les plombs ont sauté, je ne reçois plus aucune chaîne sur ma télévision ! Privée de télé pendant 7 jours le temps qu’un technicien vienne jeter un oeil. Hier soir, au boulot, à cause de l’orage, sûrement, plus aucune chaîne ne passait ! Comble du comble! !
Je ne crois pas aux mauvais sorts pourtant il y avait matière ! Nous sommes le dernier jour du mois et ce que j’ai pu en conclure c’est que malgré tous mes déboires, j’ai connu le meilleur week end de Pâques de ma vie, et j’ai pu constater avec émotion la sincérité des sentiments de mes ami(e)s, leur solidarité, leur écoute, leur disponibilité, leur empathie. Et je m’étonne de tant d’élan, de tant de vivance envers ma personne. Moi qui aime tant donner, cette fois-ci, j’ai reçu...Merci à toi Fabrice, merci à vous mes amis....
]]>J’ai tout laissé chez toi, en toi, tu as tout pris de moi, mon coeur, mon corps, mon esprit, mon âme.....je me suis perdue sur le sol corse, condamnée à ne plus savoir te quitter. Condamnée à ne jamais être aimée, à ne jamais pouvoir aimer comme je le voudrai, condamnée à n’être que de passage dans la vie des hommes....même toi je n’ai pas su te retenir, même toi je n’ai le droit d’aimer.
Condamnée à ne pas me poser, à continuer sans cesse le chemin de ma vie seule, en laissant sur le bas côté ceux qui me sont chers. Ma vie n’a plus le même intérêt depuis ce mardi 6 avril, rien n’a plus le même gôut, la même saveur que pouvaient avoir ces étreintes, ces baisers, ces regards, ces caresses que nous avons partagés. Je perds petit à petit de ma vivance, je me fond dans l’errance, dans la misérable espérance d’un signe de ta part.
Voilà le comble de ma vie, condamnée à chercher le possible dans l’impossible, à croire au meilleur de chacun, à voir l’invisible, à décrire l’indicible....
Je me mets à imaginer, à espérer, à aspirer une vie meilleure pour mes enfants et pour moi même, tout quitter, construire un ailleurs sur les fondements d’un bonheur tout simple d’une vie de famille. Marre de cette vie approximative, de cette survie où je n’arrive jamais à ne compter que sur ma propre personne ! La route est longue et semée d’embûches, à chaque espoir je trébuche.
Je crois avec certitude que je ne trouverai jamais un être aussi cher que toi Fabrice, mais tu ne veux l’entendre… Condamnée à ne pouvoir vivre pleinement mes désirs, mes sentiments, mon avenir, condamnée à ne pouvoir me projetter seule ou avec quiconque, car personne n’en vaux plus la peine que toi....
C’est peut être peine perdue, une quète effreinée vers l’impossible, mais je t’aime........
]]>Un week end loin de chez moi, loin des miens, mais au plus près de toi, de ta peau, de ton corps, de ton coeur. Inoubliables moments gravés à jamais en moi, tes attentions, tes gestes, tes regards, tes mains qui me touchent, me caressent, ton odeur, rien, je n’oublierai rien.
Un retour, une séparation des plus difficile pour moi, aucune envie de te laisser, envie de faire perdurer tous ces merveilleux instants passés ensemble. Ne pas quitter la chaleur de tes bras, gôuter encore à la douceur de tes lèvres, je n’ai su que retenir des larmes qui ne demandaient qu’à couler le long de mon visage.
Des regards à n’en plus finir juste pour saisir des derniers instants avant que tu ne m’échappes, et te perdre de vue une fois franchie la porte. L’avion a vu couler mes larmes que je n’ai plus su retenir, un aurevoir, ce n’était qu’un aurevoir. Une promesse au décollage, comme un serment que je déposais sur le sol corse avant de partir; revenir, je reviendrai, je reviendrai.....
Un retour chez moi, où j’étais très attendue, où l’on me demandait de toutes parts, un rendez-vous MSN avec toi que je n’ai pas honorée et que je regrette....j’ai juste voulu aller voir Sébastien qui n’avait pas été bien du week end me sachant là bas, peur de me perdre....et moi je venais lui dire que j’étais amoureuse de toi et que c’était ainsi. Je l’ai rassuré sur le fait qu’il ne perdrait pas en tant qu’ami mais qu’il n’aura jamais de moi d’autres sentiments que de l’amitié. Il a respecté mon choix, il ne pouvait en être autrement.
Et là ce soir, je ressens un grand vide, un manque de toi terrible, plus autant de coups de fils, plus autant de messages, une grande distance physique mais aussi sentimentale......
Je n’arrive pas vraiment à comprendre ce silence, tu as peut être beaucoup de boulot, peut être que je m’imagine des choses, je n’en sais rien, je sais juste que ce silence, ces non réponses à mes appels d’aujourd’hui me sont insupportables....
Que n’ai je pas compris ? Que n’ai je pas perçu ? T’ais je fait du mal ?
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"Se donner tellement en si peu de temps en étant si loin l’un de l’autre fait de nous des êtres uniques qui vivont des émotions si intensément. Ne perdons pas cette exception et vivons la, cultivons là encore et toujours."
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