deux

← Retour au journal

avril 2010

Pas de nouvelles.....

Un long et en même temps un week end trop court beaucoup trop court passée à tes côtés. Avec toi Fabrice, que j'ai enfin rencontré après plus d'un an et demi de relation virtuelle. Un week end loin de chez moi, loin des miens, mais au plus près de toi, de ta peau, de ton corps, de ton coeur. Inoubliables moments gravés à jamais en moi, tes attentions, tes gestes, tes regards, tes mains qui me touchent, me caressent, ton odeur, rien, je n'oublierai rien. Un retour, une séparation des plus difficile pour moi, aucune envie de te laisser, envie de faire perdurer tous ces (...)

Condamnée

Condamnée au silence, condamnée à ton absence, condamnée par la distance, condamnée à cette souffrance. Souffrance de ne pas comprendre, de ne pas entendre, de ne pouvoir entreprendre une suite à notre relation débutée il y a dix huit mois. J'ai tout laissé chez toi, en toi, tu as tout pris de moi, mon coeur, mon corps, mon esprit, mon âme.....je me suis perdue sur le sol corse, condamnée à ne plus savoir te quitter. Condamnée à ne jamais être aimée, à ne jamais pouvoir aimer comme je le voudrai, condamnée à n'être que de passage dans la vie des hommes....même toi je (...)

Dernier message ou pas......

Ce n'est pas de l'obstination, ni aimer en vain et même si je n'attends plus de réponse, il existe des mots que je ne peux garder pour moi...à toi d'en faire l'usage dont tu as envie mais tu manques à ma vie........ (...)

Le meilleur dans le pire

Telle est une de mes devises: "Tâches de trouver dans les pires moments le meilleur". Fin d'un mois d'avril marquant dans ma vie, un début des plus prometteurs chargé d'espoir, d'envie, de bonheur vécus sur l'île de beauté qu'est la Corse, des jours suivants sans nouvelles, sans réponse de sa part, le silence complet depuis plusieurs semaines. De l'attente vaine,des messages envoyés sur son téléphone, sur sa boîte mail et encore et toujours ce silence. Le mois d'avril a tout de même continué son cours sans lui, et avec son lot de mauvaises surprises. Un pneu crevé sur (...)